Samedi 8 décembre
Heureusement, il n’y pas trop de bouchons et notre chauffeur de taxi est très efficace. Nous arrivons à l’aéroport juste à temps pour faire le check-in, en passant en priorité au comptoir des enregistrements. Nous passons les contrôles de sécurité et réussissons à embarquer sur le vol prévu.
La journée a mal commencé, mais tout est bien qui finit bien. Nous voilà dans l’avion pour Chiang Mai. A l’arrivée, Nounou, notre guide Thaïlandais qui parle très bien français, nous accueille et nous présente au chauffeur qui nous conduit jusqu’au village Karen de Phamon Mai.
En chemin, nous nous arrêtons au bord de la rivière Maeklang pour déjeuner puis faire une descente sur des radeaux en bambou.
Nous terminons les derniers kilomètres jusqu’au village à pied : cette balade d’une heure nous permet de voir quelques plantations des Karen (bananes, tomates, céleri…) et de subir un premier orage. Les enfants testent les feuilles de bananier en guise de capuche et nous nous mettons à l’abris dans les serres de tomates.
Arrivés au village, nos hôtes nous accueillent chaleureusement et nous nous mettons au sec dans la belle maison en bambou.
Dimanche 9 décembre
La journée démarre par une visite du village Karen.
L’après-midi est dédiée à un trek jusqu’à la cascade de Pha Dok Siew. Pour préserver les genoux de Jacqueline notamment, nous avons choisi de faire la montée, là où la plupart des touristes choisissent la descente. Le trek est bien sportif et le groupe hétérogène, de 4 (bientôt 5) à 80 ans est à la peine.
Les filles sont en pleine forme et avalent les kilomètres sans se plaindre. Au niveau sportif, c’est pourtant plus exigeant que les chronos de courses demandés par le CNED.
Je motive Raphaël qui part en tête avec moi et il tient jusqu’au sommet où il finit par craquer : « je suis fatigué ! » Après une petite pause et un gâteau, il se ressaisit pour finir les derniers mètres. Nous sommes tous fiers de lui : je connais peu d’enfants de son âge capables d’une telle endurance.
A la fin du trek, les chaussures d’Hélène montrent aussi des signes de fatigue. Pourtant, deux jours avant, elles avaient l’air en parfait état.
Nous terminons la journée par une petite séquence de drone autour du village.
Lundi 10 décembre
Le chauffeur nous amène à la cascade de Wachirathan.
Il nous dépose ensuite au départ du chemin de randonnée du Doi Inthanon. Après le picnic, nous attaquons la randonnée jusqu’au sommet du mont et arrivons dans l’humidité des nuages.
Mardi 11 décembre
Après un dernier petit déjeuner toujours aussi copieux, nous remercions et saluons nos hôtes Karen avant de redescendre jusqu’à la route principale en pickup. Nous (re)partons en direction d’un sanctuaire d’éléphants situé proche de la rivière que nous avons descendue sur les radeaux en bambous quelques jours plus tôt.
Que de marche, vous devez avoir une forme olympique, toujours de très belles photos. Bisous à
Magnifique ! que dire d’autre ?
Merci Régis ! On en prend plein les yeux et ça fait du bien d’être au chaud en ce moment 🙂
Vous nous faites toujours autant rêvé !!!! De beaux paysages vus du drone, des belles ballades (un peu dures parfois…).mais quel dépaysement!! nous avons hâte de voir la suite. Bisous à tous
Merci Isa ! 🙂
Bises
Quel dépaysement 😊
Je me posai la question, comment font-ils pour remonter les radeaux en bambou.
Bonne continuation et il faut acheter des chaussures pour Hélène 😀
Bisous à tous
Ils font comme avec les vélib : ils les mettent sur une camionnette 😉
Ça fait juste un peu plus rustique… 🤣
Pour les chaussures d’Hélène, on a trouvé la solution et elle a pu continuer les marches, rassure-toi ! On essaiera d’en parler dans un prochain article
Bises